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lundi 18 avril 2016

Dossier X IDENTIFICATION - PREMIERES PRECISIONS.

Interview réalisée le 06/11/2002 à Paris
Durée 60 minutes


  Stéphane Bourgoin
Qui s’intéresse aux tueurs en série en France, qui connaît Stéphane Bourgoin. C’est donc naturellement que nous avons pris contact avec lui, en nous rendant à sa librairie, Le Troisième Œil. Il a été tout de suite intrigué et intéressé par notre histoire.

Stéphane Bourgoin nous a permis de faire la lumière sur plusieurs questions :

- Le spécialiste français des tueurs en série précise en premier lieu la définition du « snuff movie » : il s’agit d’un film produit dans un but lucratif et mis en scène, dans lequel une personne est tuée en direct. Cela implique l’existence d’un circuit de vente et de distribution. Jusqu’à maintenant, aucun service de police n’est parvenu à prouver la réalité de ces réseaux.

- Il nous a aidé à mieux comprendre le caractère dominateur de l’homme qui tient la caméra, en analysant les mécanismes complexes qui régissent ce type de personnalité.

- Il pense qu’un médecin légiste serait capable de déterminer s’il est possible ou non d’étrangler une personne avec une seule main, et si la strangulation entraîne obligatoirement ou non un écoulement nasal.

Un dérushage complet de cette séquence a été réalisé. Nous en publions un extrait au format Real sur le site (voir) (Site fermer)


PROCHAINS ETAPES

Liste des 3 prochaines interviews prévues :

- Le brocanteur de Saint Germain la Campagne nous a donné l’adresse d’une personne habitant dans la Manche. Il pense que c’est cet homme qui lui a probablement cédé nos sept bobines, il y a plusieurs mois en 2001.

- Nous prévoyons d’interviewer Sarah Finger, auteur de La Mort en Direct, Snuff Movies, spécialiste des snuffs movies en France.

- Nous prévoyons d’interviewer Jeremy Bouquin, réalisateur d’un film de fiction dénonçant le snuff movie, et actuellement en montage.

Rappel

Lors de mes fouinages dans les brocantes du nord de la France, je suis tomber sur une dixième de films super 8 ou apparaisse des familles heureuses d'une époque révolue. Une, deux, trois, quand, tout à coup, au milieux d'un film familiale, m’apparaît  des images inouï pour les 15 heures de mon salon, que faire, Je range tout puis, nous verrons plus tard...

Dans un silence d'attente, le repas du soir fut asser rapide, (vite) Je me lève par politesse je salut tout le monde, amies du soir bonsoir...


La société de production a récemment acquis sept bobines super 8 muettes utilisées et développées par un cinéaste amateur dans les années 70 (un expert de chez Kodak a confirmé qu’il s’agissait de films datant de ces années).

L’étrangeté du contenu de chacune d’entre elles a frappé et alerté la production : il s’agit de sept bobines sur lesquelles sont filmées des jeunes femmes. Certaines d’entre elles sont nues, parfois attachées. D’autres semblent victimes de viol, et l’une des bobines montre une femme étranglée.

Au-delà des images abominables et extrêmement réalistes de séances de viols et de strangulations, la personne qui filme montre une violence qui va crescendo. Imavision n’a pour l’instant aucune certitude quant à l’ordre dans lequel ces images ont été réalisées, mais cette violence démarre sur une simple prise de vue érotique, passe au viol puis au meurtre.

C’est pourquoi La société investi beaucoup de son temps dans cette investigation.
Qui est l’auteur de ces images ?
Est-il encore vivant ?
Les jeunes femmes que l’on aperçoit sont-elles mortes assassinées, ou s’agit-il d’une mise en scène morbide et déplacée ?

Retour : http://snuffs-movies.blogspot.fr/2016/04/dossier-x-enquete-dans-le-monde-des.html

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